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Impression 3D & Santé - Top 5 des cas d'usage

En 2015, le premier médicament imprimé en 3D est autorisé aux États-Unis.

Il s'agit du Spritam (lévétiracétam) commercialisé par l'entreprise Aprecia.

Depuis, les applications de l'impression 3D se sont multipliées et sont sur le point de transformer radicalement notre approche des soins médicaux

Près de 10 ans plus tard, 5 cas d'usage principaux ont émergé et suscitent une attention significative.

Découvrons-les dans cet article

Côté Pharma

1. Développer des traitements personnalisés

Adapter le dosage

L’impression 3D donne la possibilité de créer des médicaments spécialement adaptés à chaque patient.

Qu’il s’agisse du poids, de la taille ou de la condition de santé de la personne, chaque aspect peut être pris en compte pour définir la dose parfaite.

Cela s’avère particulièrement utile pour les populations pédiatriques et les personnes âgées, souvent susceptibles de nécessiter des ajustements dans leur traitement en raison des variations physiologiques/métaboliques.

Réduire la polymédication

En France, un individu de plus de 85 ans prend en moyenne 11 médicaments par jour.

Avec l’impression 3D, il ne pourrait prendre qu'un seul comprimé, regroupant tous les principes actifs nécessaires

Cela pourrait non seulement améliorer le confort des patients, mais également favoriser une meilleure observance.

Adapter la forme du comprimé

De la même façon que l'impression 3D permet de repousser les limites de l'architecture, elle peut aussi permettre la conception de comprimés aux tailles et formes adaptées.

Une nouvelle fois, cela est particulièrement pertinent pour les patients pédiatriques et les personnes âgées, qui peuvent souvent avoir des capacités de déglutition limitées.

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